Dans le cadre de la lutte contre la vie chère, la FEG a réuni ses membres le 4 juin 2025 pour élaborer des recommandations destinées à alimenter le futur dialogue public-privé permanent souhaité par le Gouvernement gabonais. Une commission spéciale remettra un mémorandum d’ici le 30 juin 2025.
Dans le cadre de la lutte contre la vie chère, le Gouvernement gabonais souhaite instaurer un dialogue public-privé permanent. C’est dans cette perspective que la Fédération des Entreprises du Gabon (FEG) a réuni ses membres le 4 juin 2025 pour discuter de cette problématique et proposer des recommandations.
Lors de cette réunion, il a été souligné que la vie chère résulte de multiples facteurs impliquant aussi bien des administrations publiques (comme la douane et l’Agence Gabonaise de la Sécurité Alimentaire) que des acteurs privés (acconiers, transporteurs, etc.).
L’objectif est de proposer des solutions concrètes concernant notamment la structure des prix, la régulation des agréments liés à la vie chère, la lutte contre la contrefaçon et la réduction du secteur informel. Une méthodologie de travail et un calendrier ont été définis. Une commission ad hoc remettra un mémorandum sur la question au président de la FEG, Alain-Claude KOUAKOUA, d’ici le 30 juin 2025.
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